Le comité d’organisation du colloque est composé de Laurianne Martinez-Sève (École française d’Athènes) et Vessela Atanassova (Institute for Balkan Studies with Center of Thracology et École française d’Athènes).

Date limite de candidature : 31 mai 2024

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Appel et informations

La Société Française d’Histoire Urbaine (SFHU) ouvre, pour sa 14e session, un concours de thèses qui s’adresse aux jeunes docteures et docteurs en histoire urbaine, ayant soutenu leur thèse durant l’année civile 2023.

Sont recevables toutes les thèses qui abordent le fait urbain dans son historicité, quels que soient la période, l’espace et la discipline académique (histoire, droit, urbanisme, architecture, histoire de l’art…) concernés.

Par cette initiative, dotée d’un prix de 2000 €, la SFHU vise à encourager de jeunes chercheuses et chercheurs et à favoriser la plus large diffusion possible de leurs travaux. Le jury peut aussi attribuer un prix spécial doté de 1000 €.

Date limite de candidature : 14 juillet 2024

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Informations

Cette 5e édition s'inscrit dans la dynamique des manifestations scientifiques internationales rassemblant autour de l’histoire de la construction des praticiens et des chercheurs, des acteurs du patrimoine (collectivités, associations, etc.), des étudiants, des amateurs, des élus et des usagers. Les thématiques traditionnelles de l’histoire de la construction sont représentées (matériaux, processus de construction, chantier, droit et économie, métiers et acteurs, circulation des savoirs, etc.), aux côtés de nouveaux thèmes de recherche tels que l’histoire des techniques d’entretien et de restauration et l’histoire environnementale.

Date limite de candidature : 31 mai 2024

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Appel

Informations

Dans le cadre du soutien apporté aux actions de coopération internationale, le ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche (MESR) et le Réseau des Écoles françaises à l’étranger (EFE) ont le plaisir de vous annoncer l’ouverture de l’appel à candidatures aux contrats doctoraux du Réseau des EFE.

Cette année, 4 contrats sont ouverts, portés par l’École française d’Athènes, l’École française de Rome, l’Institut français d’Archéologie orientale du Caire et la Casa de Velázquez (École des hautes études hispaniques et ibériques).

Les détails et procédures de dépôt des candidatures peuvent être consultés sur les sites respectifs :

- École française d’Athènes : https://www.efa.gr/contrat-doctoral-presentation-generale-et-recrutement/

- École française de Rome : https://www.efrome.it/contrat-doctoraux/contrat-doctoral-fleche

- Institut français d’Archéologie orientale : https://www.ifao.egnet.net/recherche/recherche-soutien/bourses-doctorales-et-post-doctorales/Contrat-doctoral-Ifao-MESR/

- Casa de Velázquez : https://www.casadevelazquez.org/news/contrats-doctoraux-fleches-1/

Date limite de candidature : 5 mai 2024

Informations

Fondé en 1834 par le ministre de l’Instruction publique François Guizot, rattaché à l’École nationale des chartes, membre de l’université de rang mondial Paris Sciences et Lettres, le Comité des travaux historiques et scientifiques est une institution unique dans le paysage de la recherche française. Il est à la tête d’un réseau composé de plus de 3 500 sociétés savantes, avec lesquelles il échange à l’occasion de son Congrès annuel ou dans le cadre de projets de recherche numériques, collaboratifs et ambitieux. Il fédère des scientifiques membres de prestigieuses institutions, des érudits locaux, des jeunes chercheurs et joue ainsi un rôle fondamental dans la construction et la transmission des savoirs. Le CTHS, à travers sa fondation, entend soutenir la jeune recherche en mettant en valeur et en favorisant la publication de thèses particulièrement remarquables.

Règlement du concours

Sur la base d’une courte présentation de leur thèse et d’un projet de remaniement conforme aux règles éditoriales du CTHS, les candidats devront montrer leur aptitude à dégager clairement la nouveauté et la richesse du contenu scientifique de leur travail. Les membres du jury seront sensibles à la qualité rédactionnelle des travaux. En demandant aux lauréats un effort de réécriture pour passer d’une thèse à un livre, le jury souhaite toucher un public ne se limitant pas au seul cercle des spécialistes.

Les lauréats du concours recevront chacun un prix de 2 000 €. Les candidats s'engagent à publier leur thèse aux éditions du CTHS, avec possibilité d’une coédition.

Conditions de participation

Le concours de thèses du CTHS est ouvert aux docteurs ayant soutenu une thèse relevant des sciences de l’Antiquité entre le 31 octobre 2021 et le 31 décembre 2023. Les thèses d’habilitation à diriger des recherches ne seront pas retenues.

Le travail de recherche peut s’inscrire dans l’ensemble du champ des sciences de l’Antiquité (philologie classique, langues anciennes, histoire des mondes anciens, archéologie et histoire de l'art des civilisations antiques). L’originalité des approches ou des objets constituera un critère important de choix, la possibilité de transformation en un ouvrage publiable s’adressant à des publics diversifiés également.

Date limite de candidature : 30 avril 2024

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Informations

Le colloque est organisé par Louis Baldasseroni (Université de Nîmes), Florian Besson (Université Paris-Sorbonne), Pauline Ducret (École française de Rome) et Romain Millot (Université de Nîmes).

Qui n’a pas frémi lorsque Maximus retire son casque devant le cruel empereur Commode ? Qui n’a pas ri des jeux de mots d’un Astérix en Égypte ou en Chine ? Qui n’a pas compati aux malheurs de Katniss Everdeen, jetée dans la terrible arène du Capitole ?

Depuis une vingtaine d’années, se multiplient films et séries dont l’action se déroule, au moins en partie, dans une Antiquité plus ou moins imaginaire. Ils contribuent à réinventer un genre cinématographique que beaucoup donnaient pour disparu depuis les années 60 : le péplum. Souvent désignés comme des « post-péplums » ou des « néo-péplums », ces productions ont renouvelé la présence de l’Antiquité au cinéma et sont aujourd’hui l’un des principaux lieux où se fabriquent les imaginaires de l’histoire antique.

C’est sur cette nouvelle vague de péplums que ce colloque se propose de revenir, pour interroger les renouvellements d’un genre plus que jamais transmédiatique, qui s’écrit désormais aussi bien au cinéma que dans des séries, des bandes dessinées, des romans, des jeux vidéo, bravant les frontières des genres comme des siècles.

Date limite de candidature : 14 juin 2024

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Appel et informations

Ce numéro de la revue Criminocorpus est coordonné par Hélène Ménard (CRISES E.A. 4424, université Paul-Valéry Montpellier 3) et Diane Roussel (ACP – EA 3350, université Gustave Eiffel).

Les recherches historiques ont surtout privilégié une approche de la magie, de l’astrologie et de la divination comme objets d’une criminalisation progressive – singulièrement pour la sorcellerie, jusqu’au moment où ces crimes sont considérés comme imaginaires et renvoyés au rang de petits crimes astucieux (par ex. Liebs 1997 ; Rives 2003 ; Rives 2006 ; Soman 1977 ; 1992). Toutefois, ni linéaire ni absolu, le processus de désenchantement du monde et de sécularisation de la culture judiciaire n’efface pas subitement les pratiques sociales incantatoires et divinatoires (Porret, 2008). En témoigne le temps long des procès pour magie qui ont été étudiés de l’Antiquité jusqu’à l’époque moderne, voire contemporaine, notamment dans d’autres aires civilisationnelles (De Rosny 2005 ; Fancello, Bonhomme 2018 pour l’Afrique contemporaine, ou encore le cas du vaudou dans les espaces coloniaux (Pluchon 1987 ; Houllemare 2019).

L’objet de ce dossier qui sera publié dans la revue Criminocorpus est d’inverser le regard et de voir comment la magie (ou ce qui est qualifié de « magie »), l’astrologie ou la divination, qui constituent des champs de savoirs plus ou moins licites selon les époques, interfèrent avec la justice. Selon les contextes sociaux et culturels, ces relations mettent en jeu le rapport de la justice avec la science et la religion, les conceptions variables de la rationalité judiciaire ainsi que le rôle de la société et, de plus en plus, de l’opinion publique à l’égard des pratiques dites magiques. La réflexion pourra se déployer à travers trois axes :

1er axe – Comment la magie, l’astrologie ou la divination se font auxiliaires de la justice institutionnelle, en permettant de dévoiler le crime ou en punissant un(e) coupable (par ex. à titre de preuve).

2e axe – Comment la magie ou d’autres savoirs considérés comme occultes essaient d’agir sur la justice, notamment en intervenant dans un processus judiciaire, pour circonvenir un représentant (juge, avocat) ou la partie adverse, pour détourner un procès.

3e axe – Comment la magie utilise le corps des suppliciés.

Les propositions de contribution devront comporter une courte présentation de l’auteur et un résumé de 3000 signes maximum.

Date limite de soumission des propositions : 30 juin 2024

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Informations

Les États, les empires et les villes de l'Antiquité étaient délimités par des frontières, qui ont façonné la vie quotidienne de leurs habitants. Les frontières peuvent être abstraites, mais aussi visibles sur le terrain et dans le paysage urbain. Imposées par le haut ou développées d'en bas, elles peuvent être sanctionnées par l'autorité politique ou religieuse ou créées par l'interaction quotidienne. Les frontières sont associées au conflit et à l'exclusion, mais aussi à des zones de contact et d'échange. Ce colloque de la Ernst Kirsten Gesellschaft de juillet 2024 offrira des occasions pour explorer le sujet et, ce faisant, de repousser les frontières de nos connaissances.

Envoi des propositions

Les propositions peuvent être adressées en français, anglais, allemand, italien, espagnol à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. avec un titre et une brève description du contenu.

Des frais de déplacement et d'hébergement peuvent être pris en charge.

Date limite de candidature : 30 avril 2024

Informations

L’École française de Rome a vocation à accueillir des doctorants préparant une thèse dans les champs disciplinaires qui relèvent de sa sphère de compétence telle qu’elle est définie dans le décret du 10 février 2011 relatif aux écoles françaises à l’étranger. Elle « développe à Rome et en Italie, au Maghreb et dans les pays du Sud-Est européen proches de la mer Adriatique des recherches dans le domaine de l’archéologie, de l’histoire et des autres sciences humaines et sociales, de la Préhistoire à nos jours ». En outre, sa situation particulière dans une capitale de rayonnement mondial depuis plus de 2000 ans, à travers l’empire romain puis la papauté, la rend également apte à accueillir de jeunes chercheurs travaillant sur d’autres sphères du globe (de l’Asie aux Amériques, en passant par l’Afrique) dont une partie des terrains et des sources sont situés en Italie. Les recherches qu’elle mène en archéologie la prédisposent enfin à l’accueil de doctorants travaillant dans des disciplines dialoguant avec l’archéologie (sciences de la terre, physique…).

Période d’envoi des dossiers de candidature : du 14 février au 30 avril 2024

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Informations

La définition des éléments constitutifs du travail dans les sociétés anciennes revêt un enjeu historiographique qui se heurte aux conceptions
contemporaines du monde professionnel, souvent inadaptées à la richesse sémantique et à la fluidité des catégories en usage dans les mondes antiques et médiévaux. On remarque toutefois que la notion de « frontière » est régulièrement mobilisée lorsque l’on tente de dessiner les contours des pratiques professionnelles et de leurs acteurs. Travail licite/illicite, travail pour l'autoconsommation/ouvert aux marchés, travail urbain/rural, travail contraint/libre, rétribution/gratuité sont autant d’oppositions à questionner, tant leur délimitation mouvante et poreuse encourage à penser la complexité des aspects du travail et leurs variations dans le temps et l’espace. Pour ce dixième numéro de Frontière·s, les auteurs sont encouragés à identifier et interroger les frontières du travail dans les sociétés protohistoriques, antiques et médiévales. Les contributions pourront se fonder sur des approches et des sources variées (vestiges matériels, sources textuelles, épigraphie, iconographie…) et les réflexions historiographiques seront particulièrement bienvenues.
Le dossier thématique est sous la direction de Louise Fauchier, Éléonore Favier, Marie-Adeline Le Guennec et Marine Lépée.

Date limite de candidature : 31 mai 2024

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Cet atelier doctoral est organisé par Laura Pettinaroli (EFR), Benedetta Piazzesi (EHESS), Silvia Sebastiani (EHESS) et englobe Préhistoire, Antiquité, Moyen Âge, époque moderne, époque contemporaine.

L’atelier propose d'explorer les façons dont les sciences sociales contribuent à la compréhension de nos interactions avec les autres êtres vivants, et les formes de mise à l'épreuve des sciences sociales par la question animale. L'histoire des animaux, la sociologie interspécifique, l'ethnographie multi-espèces constituent quelques-uns des chantiers inaugurés ces dernières années pour interroger les relations entre les êtres humains et les autres animaux. Sur cette base, l'objectif de l’atelier est d'ouvrir de nouvelles questions plutôt que de résoudre des débats en cours, en s'appuyant sur le dialogue entre étudiants et chercheurs issus de différentes disciplines et en travaillant sur des temporalités variées.

Parmi les pistes de recherche proposées, la première concerne les représentations des animaux dans différents contextes historiques, sociaux et ethnographiques, et leur impact sur les pratiques. La deuxième invite à réfléchir aux façons dont la représentation de différentes espèces animales et de diverses catégories d'êtres humains se sont entrelacées, et s'entrelacent encore aujourd'hui. Le troisième axe se concentre sur les technologies politiques de gouvernement des animaux, et invite à prendre en compte les temporalités multiples qui structurent les rapports de pouvoir entre animaux humains et non-humains – de la longue durée des processus de domestication aux temporalités plus brèves des transformations scientifiques et politiques. La quatrième piste concerne les phénomènes socio-écologiques – des événements zoonotiques aux changements climatiques – qui impliquent tous les êtres vivants à l’échelle mondiale et indépendamment de leur appartenance à une espèce.

L’atelier est ouvert aux doctorants et aux étudiants de M2 de toutes disciplines et de toutes nationalités. Une attention particulière sera portée aux questions théoriques et de méthode, à la réflexion sur les sources et les documents mobilisés et les échelles de l’analyse. Des séances historiographiques et problématiques alterneront avec des ateliers centrés sur la présentation des travaux des étudiants et une ou plusieurs visites. Les langues de travail sont le français, l’italien et l’anglais. Une bonne compréhension orale du français est toutefois nécessaire.

Date limite de candidature : 31 mai 2024 à 17h (heure de Rome)

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Appel

Le programme est dirigé par Frédéric Worms (ENS), Anca Dan (CNRS-ENS) et Christine Mauduit (ENS).

Le programme « Humanités dans le texte », porté par l’ENS-PSL, en collaboration avec le Ministère de l’Éducation nationale et les associations CNARELA et APLAES a pour but de constituer une bibliothèque de modules pédagogiques transdisciplinaires, composés de textes, d’images et de vidéos, destinés à venir en appui à l’enseignement des langues et cultures de l’Antiquité. Ces modules sont créés par des enseignants, des chercheurs, des spécialistes de différents domaines à partir d’un texte latin et grec, reproduit en original, traduit et commenté selon différentes perspectives d’intérêt scientifique et sociétal.

Une journée de présentation des projets réalisés sera organisée à l’ENS, le deuxième samedi de décembre.

Date limite de candidature : 31 mai 2024

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Appel

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