Date limite de candidature : 07 avril 2025
[Annonce transmise par la SVAW/ASEA]
Dans le cadre du soutien apporté aux actions de coopération internationale, le Ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche et le Réseau des Écoles françaises à l’étranger ont le plaisir de vous annoncer l’ouverture de l’appel à candidatures aux contrats doctoraux fléchés à l’international vers les EFE. Ce dispositif peut bénéficier, pour une durée de trois ans, à tout candidat au doctorat dont les recherches s’inscrivent dans le cadre des programmes scientifiques d’une des cinq Écoles françaises à l’étranger.
Cette année, 5 contrats doctoraux sont ouverts, portés par l’École française d’Athènes, l’École française de Rome, l‘Institut français d’Archéologie orientale, la Casa de Velazquez (École des hautes études hispaniques) et l’École française d’Extrême-Orient.
Cette allocation vient s’ajouter au contingent dont dispose chaque École Doctorale : elle constitue donc à la fois un renforcement de l’aide aux jeunes chercheurs, un soutien à la recherche française à l’étranger et un élargissement des partenariats entre les universités françaises et les EFE.
Pour candidater à l’École française d’Athènes, les dossiers de candidature doivent être envoyés à l’adresse
- un projet de thèse de cinq pages au maximum ;
- le CV du candidat pressenti pour entreprendre cette recherche ;
- une lettre de présentation du ou des directeur(s) de thèse pressenti(s) ;
- l’avis du directeur de l’École doctorale.
Les résultats seront transmis au cours du mois de juin.
Date limite de candidature : 05 mai 2025
Contact :
La Direction de la mémoire, de la culture et des archives du ministère des Armées a lancé le jeudi 20 février 2025 la campagne pour le financement de contrats doctoraux en histoire au titre de l'année 2025, sous réserve des crédits alloués.
Le ministère des Armées attribue des allocations doctorales dans le cadre de sa politique de soutien à la recherche en histoire militaire et de la défense en 2025. Une allocation qui permet le financement d’un contrat doctoral a pour objectif de soutenir pendant trois ans un chercheur qui s’engagera ou est déjà engagé dans une thèse en histoire militaire et de la défense, sur l’un des axes de recherches défini par le comité directeur de la recherche historique de la défense du ministère des Armées :
- Les évolutions de l’organisation de la défense et des armées
- Les engagements extérieurs et la conduite des opérations depuis 1962
- Les stratégies d’action et de dissuasion
- La sécurité intérieure
- L’histoire de la guerre et de ses formes
- Les aspects sociaux, culturels et mémoriels de la guerre
- L’histoire de l’administration du ministère des Armées
- L’histoire budgétaire et histoire économique de la politique de défense, des armées et de l’armement
Date limite de candidature : 18 avril 2025
L’École française de Rome propose chaque année un dispositif de bourses mensuelles destiné à assurer l’accueil temporaire de jeunes chercheurs dont les travaux nécessitent un séjour en Italie. Ces bourses ont pour mission principale d'accompagner les jeunes chercheurs afin de leur permettre de mener à bien leurs travaux dans de bonnes conditions et de compléter leur formation à la recherche.
Deux dispositifs sont proposés :
- Des bourses sont ouvertes à des doctorantes et des doctorants : elles sont destinées à soutenir leurs recherches, en priorité au cours des premières années de thèse ;
- Des bourses dites « sénior » s’adressent aux titulaires d’un doctorat des pays du Maghreb et des pays du Sud-Est européen proches de la mer Adriatique.
Les domaines concernés par cet appel à candidature sont les suivants : l’histoire, l’archéologie, la géographie, l’urbanisme, la sociologie, l’anthropologie, le droit, l’histoire de l’art, les lettres, la philosophie et plus généralement les sciences humaines et sociales.
Pour un séjour de bourse au second semestre 2025, la réception des dossiers de candidature est ouverte. Les dossiers seront à envoyer via la plateforme en ligne.
Date limite de candidature : 31 mars 2025 à 12h (heure de Rome)
Contact :
Souhaitez-vous participer à la création de contenus pédagogiques pour l’enseignement des langues anciennes dans le secondaire ? Dans le cadre du programme « Humanités dans le texte », vous pourrez préparer des modules multidisciplinaires et multimédia, qui comprennent des textes, des images, des podcasts et des vidéos. Chaque module est centré sur un petit texte original, en grec ou en latin. Ce texte sera traduit et étudié par vous, avec l’aide de la coordinatrice de l’atelier et d’experts d’autres disciplines avec lesquels vous pourrez être mis en contact à cette occasion. Ces modules, s’ils sont validés par le comité scientifique du programme « Humanités dans le texte », pourront être à terme publiés sur le nouveau site expert de l’Ecole Normale Supérieure (Université Paris Sciences et Lettres) et du Ministère de l’Education, à partir de l’été 2025, avec un numéro ISSN qui garantira le statut de publication.
Vous pouvez voir les modules déjà finalisés ici : https://www.translitterae.psl.eu
Podcasts : https://humanites-dans-le-texte.lepodcast.fr/
Vidéos ENS : https://savoirs.ens.fr
Retour sur l’expérience d’une participante de 2023/2024 : https://www.ens.psl.eu/actualites
Mercredi, 9h-12h, salle de paléographie
Première séance : mercredi 12 mars 2025
Contact :
La quatrième édition du prix du Collège de France destiné à récompenser une jeune chercheuse ou un jeune chercheur choisi pour l'excellence de son parcours et le caractère novateur de ses contributions à la recherche publique est lancée. Ce prix est doté d'une récompense de 20 000 euros et d'une invitation à donner une conférence publique au Collège de France.
Fidèle à l'esprit pluridisciplinaire du Collège de France, ce prix récompense alternativement chaque année un lauréat dans le domaine des Sciences mathématiques, informatiques, expérimentales et de la nature, ou des Lettres, des humanités et des sciences sociales. Les candidats doivent avoir soutenu leur thèse depuis moins de 7 ans, et être en fonction dans un laboratoire public de recherche en France. En 2025, le prix du Collège de France sera attribué dans le domaine du droit, de l'histoire et de la philosophie, sur le thème : « Savoirs et démocratie. »
L'intégration adéquate des savoirs en politique est une question débattue de longue date. Elle est aussi d'une redoutable actualité dans les démocraties nationales et internationales contemporaines, qu'il s'agisse de savoirs politiques ou d'autres savoirs plus techniques. La question complémentaire de la place des valeurs démocratiques au sein de ces savoirs ou, du moins, de leur organisation et de leur production l'est tout autant. En récompensant les travaux d'une jeune chercheuse ou d'un jeune chercheur sur ces questions, le Collège de France souhaite contribuer au débat en y révélant une nouvelle voix.
Les candidats intéressés par ce prix, travaillant actuellement au sein d'un laboratoire de recherche public en France, devront obligatoirement se tourner vers un professeur d'université ou un directeur de recherche en activité, qui soutiendra leur dossier par une lettre de présentation et de recommandation. Le dossier sera déposé par le candidat lui-même via une plateforme numérique dédiée.
Date limite de candidature : 30 avril 2025
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Date limite de candidature : 31 mars 2025
Contact :
La Société Française d’Histoire Urbaine (SFHU) ouvre, pour sa 15e session, un concours de thèses qui s’adresse aux jeunes docteures et docteurs en histoire urbaine, ayant soutenu leur thèse durant l’année civile 2024. Par cette initiative, dotée d’un prix de 2000 euros, la SFHU vise à encourager de jeunes chercheuses et chercheurs et à favoriser la plus large diffusion possible de leurs travaux.
Le jury peut aussi attribuer un prix spécial doté de 1000 euros.
Sont recevables toutes les thèses qui abordent le fait urbain dans son historicité, quels que soient la période, l’espace et la discipline académique (histoire, droit, urbanisme, architecture, histoire de l’art…) concernés. Les thèses d'histoire urbaine antique entrent donc pleinement dans cet appel.
Date limite de candidature : 16 mars 2025
Date limite de candidature : 16 mars 2025
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Le colloque est organisé par Lorenzo Boragno et Antonio Romano (tous deux membres de l’UMR 6566 - Centre de Recherche en Archéologie, Archéosciences, Histoire).
Dans l’anonyme Differentiae verborum, attribuée à Marcus Cornelius Fronto, une réflexion subtile sur la distance sémantique entre anticum et vetus éclaire la nature du rapport que les Romains entretenaient avec leur passé : Anticum et vetus. Anticum est quod excessit patrum memoriam, vetus annorum multorum sentit utilitatem (Gramm. Lat. VII, 520 Keil : « Anticum désigne ce qui échappe à la mémoire des pères, tandis que vetus renvoie à ce qui conserve l’utilité des années passées »). Aucune traduction française ne saurait pleinement restituer cette distinction : anticum est ce qui, en étant ante (« devant ») d’un point de vue spatial et temporel, appartient exclusivement au passé, alors que vetus puise dans l’expérience passée, mais trouve également sa place dans le présent.
Pour valoriser cette distinction, les chercheurs de l’Antiquité romaine ont progressivement intégré des catégories et des cadres conceptuels empruntés aux travaux des sociologues et des historiens de la contemporanéité.
Cependant, les dynamiques spécifiques de la construction de ce passé exemplaire restent encore à préciser.
Après avoir examiné la manière dont la mémoire du passé se simplifie au fil du temps, il convient d’en considérer l’une des conséquences : le phénomène de la centonisation. Dans cette mémoire abrégée, les frontières s’estompent, permettant une reconstruction du passé où divers éléments, images et tropes se mêlent au sein d’un même texte. Ce processus repose sur un mélange d’images et de valeurs simplifiées, où des périodes et figures historiques éloignées dans le temps se trouvent rapprochées pour servir une interprétation donnée. Ce phénomène mérite d’être étudié tant dans une perspective littéraire – par exemple, en s’appuyant sur la notion de bibliothèque collective ou imaginée de Pierre Bayard, selon laquelle le rapport à la littérature dépasse les expériences individuelles pour englober celles d’une communauté, révélant ainsi les mécanismes de récupération et de combinaison des figures et images passées – que dans une perspective plus strictement historique. Ces deux approches, rhétorique et historique, pourraient conjointement éclairer cet aspect singulier de la reconstruction mémorielle.
Par ailleurs, ce colloque entend promouvoir une analyse approfondie des mécanismes de la mémoire en mettant en lumière les spécificités de la réutilisation du passé dans le monde romain. L’histoire de l’appropriation du passé par les détenteurs du pouvoir à Rome a déjà fait l’objet de travaux substantiels. Selon l’interprétation de Moses I. Finley dans The Use and Abuse of History (1971), la mémoire collective ne serait rien d’autre que la transmission, à une communauté, de la mémoire d’un individu unique : celui qui détient le pouvoir. Cette mémoire, explicitement politique, s’appuie sur une diversité de supports – fêtes, monuments, monnaies –, comme en témoigne l’histoire de l’Empire romain.
Néanmoins, une approche plus nuancée semble possible : chaque groupe, qu’il soit défini par des critères géographiques ou sociaux, cultivait et promouvait une vision propre du passé, souvent très spécifique. Comment ces groupes sociaux façonnaient-ils leur mémoire ? Comment dialoguaient-ils, voire s’opposaient-ils, à l’interprétation du passé proposée par les élites au pouvoir ? Une mémoire d’opposition était-elle concevable, et si oui, comment s’articulait-elle ? Parmi ces cas, ce colloque vise à examiner notamment les modalités d’appropriation des exempla romains par les chrétiens dans l’Antiquité tardive.
Ainsi, le colloque vise à explorer la possibilité de la centonisation historiographique, et à proposer une première définition de la valeur mémorielle et épistémologique du phénomène. Comme dans la centonisation littéraire, l'élément centonné doit être interprété à la fois dans son contexte d’origine et dans le nouveau contexte où il se trouve : c’est dans cette simultanéité qu’il assume un troisième et nouveau sens.
Il en va de même pour la centonisation historiographique : lorsque deux personnages ou deux événements sont mis en relation, chacun conserve son sens dans le contexte historique et chronologique originel, tout en assumant un troisième et nouveau sens dans le cadre même de la comparaison.
Pour explorer cette possibilité, le colloque propose cinq axes de recherche, non exclusifs, énumérés ci-dessous :
- La centonisation du passé et sa valeur épistémologique : mélanger, reconstruire et réinterpréter le passé, d’un point de vue historique et littéraire
- La mort des exemples : réflexions sur le déclin de la puissance allusive d’un exemple et de sa compréhension
- Mémoire et identité : stratégies mémorielles et références au passé comme instruments de construction identitaire
- Les chrétiens et le passé romain : exemples d’appropriation culturelle
- Les exemples romains dans le monde post-classique : survivance dans la littérature et la politique après la chute de l’Empire (Ve-IXe siècle)
Date limite de soumission : 31 mars 2025
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Les éditions Classiques Garnier ont créé une nouvelle collection intitulée « Histoire des Antiquités ». Comme son nom l'indique, la collection accueille des monographies et ouvrages collectifs consacrés aux mondes anciens, dans toutes leurs diversités documentaire et thématique. Elle entend refléter la vitalité des sciences de l’Antiquité en alliant érudition et questionnement problématique. Une place particulière est faite aux ouvrages réfléchissant sur la longue durée de la période antique.
Les manuscrits de toute taille sont examinés, avec toutefois une contrainte assez forte quant au nombre d'illustrations figurées. Les Classiques Garnier proposent un processus éditorial rapide (en moyenne 6 mois entre l'acceptation du manuscrit et sa publication) et un réseau de diffusion large.
Toutes les demandes d’informations et les propositions de manuscrit peuvent être adressées à
Centre de recherche conjoint de la Universidad Autonoma de Madrid et la Casa de Velázquez, le MIAS a été admis en avril 2019 comme membre de plein droit du prestigieux réseau NetIAS (Network of European Institutes for Advanced Study). Il a pour objectif de renforcer et internationaliser la recherche, notamment en Sciences Humaines et sociales, à travers la mise en place d’une politique d’invitation de chercheurs de haut niveau. Pour cela, le MIAS propose un appel à candidatures ouvert. Les chercheurs résidents, sélectionnés au travers d’un processus d’évaluation rigoureux, disposent d’une grande autonomie dans le développement de leur projet de recherche, et échangent régulièrement à l’occasion de rencontres interdisciplinaires, entre eux mais également avec les communautés scientifiques locale, régionale et nationale.
La communauté scientifique du MIAS est composée d’environ 30 chercheurs, en Sciences Humaines et Sociales, dont le séjour à Madrid peut varier de 3 mois à 3 ans.
Plusieurs appels à candidatures sont ouverts tout au long de l’année universitaire.
Les historiens de l’art et les archéologues qui travaillent sur les édifices de culte s’intéressent à des formes et des techniques architecturales, à des décors, peints et/ou sculptés, mais ils tentent aussi de restituer les rituels et les circulations qui s’y déroulèrent.
L’édifice et sa périphérie constituent un espace sacré, délimité par une frontière, matérielle ou symbolique, qui marque la séparation avec l’espace profane. Ce territoire qui appartient à la divinité est soumis à un ensemble de règles et d’usages qui régissent la pratique rituelle, qui est elle-même étroitement liée à l’espace : gestes, sacrifices, prières, cheminements prennent place en des emplacements définis, dont l’architecture et le décor précisent souvent l’identification et la fonction. Les seuils, qui matérialisent le passage d’un espace à un autre, sont aussi la traduction architecturale des frontières qui interviennent dans le rituel. Ils marquent l’accessibilité à un espace ou, au contraire, l’interdiction ou la restriction à certains groupes de la société ou au personnel religieux pour les espaces les plus sacrés. Ils matérialisent différentes gradations de sacralité, appelant certains gestes, certaines prières ; leurs abords peuvent faire l’objet de dispositifs architecturaux et de décors spécifiques (reliefs, sculpture architecturale, statues).
L’enjeu pour les chercheurs qui étudient les sociétés antiques et médiévales, leurs croyances, leurs cultes et leurs pratiques rituelles, est de restituer une spatialité fonctionnelle et symbolique en analysant les structures architecturales, les décors, le mobilier, les textes (littéraires et épigraphiques), les sources normatives et les sources de la pratique. Le travail de recherche peut se heurter à plusieurs difficultés méthodologiques, qu’il s’agisse du caractère lacunaire des vestiges conservés, de la stratification des utilisations sur le temps long, de la correspondance complexe entre le vocabulaire utilisé par les auteurs anciens et les objets et espaces observés, du manque de textes ou, au contraire, de la disparition de certains édifices, connus uniquement par des sources écrites.
Pour ce numéro de la revue Frontière·s, consacré aux frontières du sacré de l’Antiquité à la fin du Moyen Âge, différentes thématiques pourront être abordées, à partir d’études de cas ou de synthèses sur un corpus, ici listées de manière non exhaustive :
- l’établissement de normes sur l’accès des différents espaces des édifices de culte ;
- l’interprétation parfois complexe de la terminologie employée dans les sources écrites pour distinguer différents espaces ;
- l’approche croisée de vestiges conservés et de sources textuelles ;
- la restitution de structures de séparation plus au moins autonomes par rapport au gros œuvre (portes, tentures, chancels, jubés, grilles, clôture…), qui peuvent connaître des variations liées à la nature du culte, au calendrier religieux, mais aussi à l’évolution sur le temps long des pratiques liturgiques ;
- l’aménagement des seuils et des passages (sculpture, décoration architecturale, inscriptions topiques) ;
- la restitution des perceptions sensorielles des cérémonies au sein d’un espace donné ;
- la périodisation de l’histoire d’un édifice au regard de l’évolution de l’organisation spatiale du sacré.
Date limite de candidature : 31 mai 2025
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Le programme est dirigé par Frédéric Worms (ENS), Anca Dan (CNRS-ENS) et Christine Mauduit (ENS).
Le programme « Humanités dans le texte », porté par l’ENS-PSL, en collaboration avec le Ministère de l’Éducation nationale et les associations CNARELA et APLAES a pour but de constituer une bibliothèque de modules pédagogiques transdisciplinaires, composés de textes, d’images et de vidéos, destinés à venir en appui à l’enseignement des langues et cultures de l’Antiquité. Ces modules sont créés par des enseignants, des chercheurs, des spécialistes de différents domaines à partir d’un texte latin et grec, reproduit en original, traduit et commenté selon différentes perspectives d’intérêt scientifique et sociétal.
Une journée de présentation des projets réalisés sera organisée à l’ENS, le deuxième samedi de décembre.
Date limite de candidature : 31 mai 2024
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